– L'IRSN nous a associés très tôt à ses premiers calculs. Notre rôle principal était de dire s'il y avait un risque en France. Les analyses nous ont montré qu'il n'y avait pas de raison de mettre en place des contrôles, même si certaines importations ont été soumises à vérification. On aurait trouvé des traces de césium sur des champignons venant de Russie, ce qui n'est pas cohérent avec les scénarios sur lesquels nous travaillons, qui évoquent plutôt un incident significatif dans une usine de retraitement. Et on n'a pas retrouvé de ruthénium.