Nous touchons ici un point récurrent sur les sujets sensibles. On regrette de ne pas avoir au sein du Parlement des représentants habilités secret défense pour avoir connaissance de ce type d'informations. M. Marc Drillon.- Vous avez parlé d'avis sur les programmes de coopération. Qu'est-ce que cela signifie exactement ? Nous avons eu ce cas de figure. Lorsqu'on a fait une demande d'autorisation pour un candidat étranger, on nous a demandé si nous avions une convention de coopération avec son université. Est-ce systématique ou pas ?