, a dit être en accord avec le contenu de la note et a estimé qu'il était possible d'outrepasser pour une durée limitée les limites habituellement posées pour la protection des libertés individuelles, afin de lutter contre l'épidémie. Aujourd'hui, les choix sont autant influencés par les études scientifiques que par la vox populi, comme le montre l'attitude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur l'information délivrée par la Chine au début de l'épidémie.
Le déploiement des tests sérologiques sera une dimension importante du déconfinement. L'Office doit se donner les moyens de formuler un avis autorisé, au croisement de cette note et d'informations à recueillir autour des développements à venir en matière de sérologie.
Le débat concernant l'hydroxychloroquine doit autant à des études qu'à des « non études » et relève aussi de rivalités universitaires. Il en ressort une sorte de viscosité, fort regrettable, sur le sujet. Il est important que l'Office s'engage à ce propos.