, a rappelé que, quel qu'il soit, l'outil va demander du temps – deux semaines au minimum – pour être mis au point. Or, si le Gouvernement déployait le dispositif sans l'avoir mis préalablement en débat, cela poserait un problème. Il est donc très sain qu'une communication soit entreprise sur ce projet et que le débat puisse se développer ; au demeurant, des informations circulent sur les usages observés en Asie et plusieurs pays européens. Mais il faut bien dire que ce dispositif n'est pas une panacée et qu'il doit s'inscrire dans une stratégie sanitaire globale.