, a indiqué que l'INRIA et l'Institut Fraunhofer effectuent des développements parallèles, mais communiquent régulièrement. Par exemple, les équipes allemandes ont réalisé un travail très important sur la calibration du Bluetooth, c'est-à-dire sur la manière dont est calculée la distance entre deux smartphones, point qui a longtemps constitué une difficulté importante. Elles ont communiqué leurs résultats à l'INRIA et celui-ci a pu les exploiter dans le cadre du projet français.
Chacun a ensuite poursuivi ses développements propres. Il y a donc à la fois de la coordination et des travaux parallèles. Le but est d'aboutir à des applications certes interopérables, mais dont l'utilisation se fera essentiellement dans un cadre sanitaire national.