a indiqué que le columbarium installé il y a 7 ou 8 ans dans sa commune a vu augmenter la demande dès avant la pandémie. L'accélération actuelle confirme ainsi une tendance de fond. Mais le défaut de rituels de deuil risque d'entraîner des troubles psychologiques qui vont durer.
Quant aux soignants, quel sera leur état physique et moral à l'issue de la pandémie, beaucoup ayant été confrontés à la mort sans y avoir été préparés ? Ne mériteraient-ils pas un soutien spécifique ?