Le schéma suivant, qui représente précisément la part du budget de la MIRES consacré à la biologie‑santé, ne pose aucun problème en termes de conversion entre euros constants et euros courants, puisqu'il s'appuie sur des proportionnalités. On observe une diminution forte de ce pourcentage, après un point haut en 2007. À partir de 2017, la diminution observée est la conséquence du développement d'actions de la MIRES dans d'autres secteurs prioritaires que les sciences de la vie. Les ordonnées ne partent pas là non plus de zéro, et l'effet dilatateur est voulu, afin de mieux montrer les écarts enregistrés.