La question du statut des alliances a été posée voici quelques années. À cette occasion, l'arbitrage collectif a consisté à les considérer comme des clubs, au sein desquels devaient s'effectuer des concertations régulières entre organismes définissant leur politique. Mais un statut permettant d'en faire une nouvelle strate dans le système ne leur avait pas été conféré. La volonté était de les brider autant que possible, avec peu de moyens, afin qu'elles ne constituent pas une couche supplémentaire. Vous évoquez la possibilité de leur donner une personnalité morale. Ne s'agirait-il pas là d'un engrenage, qui les conduirait petit à petit à se transformer en nouvelles infrastructures, avec chacune son administration, son évaluation, son personnel, etc. ?