Le rapport dégage quelques recommandations fortes. Il préconise que les communes mettent en place un lieu pour que puisse y être célébré le cérémoniel civil. Il évoque la question des mémoriaux.
Mais sa recommandation majeure est que le secteur du funéraire soit vu comme un maillon à part entière de la chaîne sanitaire, tant au moment où les autorités exécutives prennent leurs décisions, que lorsque des avis sont mis au point, ou quand un hommage public national est rendu. Il serait bon de prendre publiquement position sur ce point. Le rapport recommande également qu'une instance telle que l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) puisse mener une étude sur la question du deuil. Ce sont autant de thèmes que l'Office pourra suivre, et porter ensuite à la connaissance générale du Parlement.