. – En écho à vos propos, on peut mentionner les terribles débats sur l'hydroxychloroquine, sur laquelle les convictions d'une grande partie de la population se fondaient essentiellement sur l'émotion, les hésitations sur le port du masque, jusqu'au niveau de l'OMS, ou les considérations sur le temps qu'il faudra pour disposer d'un vaccin… Cela a été source de tensions et de confusions.
Cette préoccupation rejoint le thème de l'intégrité scientifique, sur lequel se penche actuellement l'Office.