. – Le deuxième sujet qui me passionne, c'est la question de la culture scientifique et technique. Je suis également vice-président de la métropole de Metz en charge de l'enseignement supérieur. À ce titre, j'y porte un intérêt tout particulier, avec un regard plus politique. Il y a un vrai travail à mener. Pendant la crise du covid, j'ai été surpris de voir que l'on avait besoin de reconstituer toute une série de conseils scientifiques.
J'ai des craintes quand je lis qu'Emmanuel Macron a déclaré ce matin qu'il n'avait pas un gouvernement de scientifiques.