Je rappelle que, lorsqu'elle était députée, Barbara Pompili avait présidé une commission d'enquête sur la sûreté et la sécurité nucléaires, dont j'étais membre. Nous avions mis l'accent sur ce sujet, qui nous avait été signalé par de nombreux acteurs. L'absence de stratégie observée aujourd'hui encore est pour nous source de questionnement. Or le constat est connu au plus haut niveau, puisque la ministre elle-même a produit un rapport à ce propos.