. ‑ Plusieurs médecins m'ont alertée sur la méconnaissance par les médecins de ville des anticorps monoclonaux. De ce fait, des patients à risques, pourtant détectés précocement, ne seraient pas traités avec ces anticorps et seraient donc admis en réanimation. S'agit-il d'une réelle méconnaissance ou cette situation s'explique-t-elle par le coût des anticorps monoclonaux ?
Par ailleurs, est-il optimiste de penser que l'on pourra faire mieux lors d'une prochaine pandémie ?