Le rapport présente des analyses de cas et des recommandations. Les analyses viennent du monde de l'entreprise et concluent qu'il est important de ne pas avoir uniquement un plan de crise « dormant » mais que les processus destinés à gérer la crise doivent être utilisés régulièrement pour que le pays soit réellement prêt. S'agissant des recommandations, l'organisation des pouvoirs publics devrait-elle viser prioritairement à confectionner des outils techniques prêts à être utilisés ? à disposer de données prêtes à être mobilisées ? à avoir de bons réflexes et, pour le décideur, de bonnes habitudes et un état d'esprit apte à savoir avec quels ressorts gérer la crise ? à établir des réseaux efficaces, par exemple en faisant en sorte que des personnes du monde de l'entreprise familières avec la gestion de crise soient en contact avec des personnes du monde politique familières avec la gestion de crise ? La préparation se situe-t-elle au niveau du réseau humain, au niveau des données, au niveau de l'outil technique ou au niveau des savoir-faire ?