Pour rebondir sur les réponses qui m'ont été faites, ma question portait vraiment sur le rôle de l'humain. Si des outils sont créés pour virtualiser un processus de réaction, notamment en termes de logistique, il n'empêche qu'il faut des gens sur le terrain, des moyens de transport, des numéros de téléphone, etc. Il faut prévoir des articulations avec le réel. En matière d'épidémiologie, il faut bien l'intelligence humaine et son inventivité pour écarter des éventuels rapports de causalité une relation qui serait en réalité un biais. Jusqu'à présent, je ne suis pas tout à fait convaincue que les modèles puissent le faire.