. ‑ S'agissant des « alternatives » au stockage géologique des déchets, l'entreposage à sec des combustibles usés peut-il être une solution d'attente satisfaisante en vue d'une séparation puis d'une transmutation des radionucléides qu'ils contiennent ?
La séparation-transmutation des trois actinides mineurs permettrait-elle de réduire la radioactivité des déchets de haute activité après quelques centaines d'années ?
Ma dernière question est plus générale. Comment positionnez-vous la France dans le panorama international de la gouvernance de la gestion des déchets radioactifs ?