M. Chomaz, vous avez évoqué l'exemple du silicium et vous avez insisté sur la différence entre les qubits physiques et les qubits logiques et sur l'existence de verrous techniques. Nous avons ensuite entendu parler de qubits photoniques, de qubits à atomes froids, etc. Pouvons-nous avoir un panorama d'ensemble et comprendre comment replacer la performance à 200 qubits dans cette compétition générale ?