Des efforts sont également réalisés sur la cryptographie avec d'autres vecteurs lumineux, qui relèvent de ce que l'on appelle les variables continues, notamment par les équipes d'Eleni Diamanti et Philippe Grangier. Leur approche s'appuie sur des composants « sur étagères » permettant d'utiliser des objets plus faciles à produire et dès à présent de réaliser des échanges de clés cryptographiques. On a donc la chance, en France, d'avoir des acteurs travaillant selon deux approches techniques différentes, même si celle-ci permet l'échange de clés cryptographiques mais n'ouvre pas à l'internet quantique qui permettra peut-être un jour de mettre en réseau des ordinateurs quantiques.