Sur ce sujet qui a émergé récemment, nous venons d'entendre une présentation novatrice. Je tiens à en remercier son auteur. Les études ne font que commencer, le temps n'est donc pas venu de tirer des conclusions définitives.
Nous sommes entre les mains des applications américaines. Si ce n'est pas gênant pour nous dans le cadre du travail de l'Office, il en va différemment pour les entreprises détentrices de secrets industriels et commerciaux. Il faudra trouver pour elles des solutions sécurisées – et, je l'espère, des solutions françaises.
S'agissant de la Zoom fatigue, a-t-on épuisé la recherche de solutions disponibles ou de nouvelles applications permettraient-elles de l'éviter ? Une solution faisant appel à deux caméras a été évoquée.
Les vidéoconférences sont devenues indispensables et vont le rester, ne serait-ce que parce l'on souhaite de plus en plus protéger l'environnement, notamment en évitant les déplacements inutiles. J'évoque le sujet après avoir effectué un déplacement en Suède la semaine dernière, dans le cadre d'une mission de l'Office relative au Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR), car tous les entretiens que nous avons eus auraient pu être conduits dans le cadre de visioconférences. Il serait cependant difficile d'en dire autant des moments conviviaux, qui sont pourtant eux aussi importants et intéressants. Des jeunes pousses (start-up) vont-elles améliorer encore les solutions dont nous disposons déjà, de façon à en finir avec la Zoom fatigue ?