. – Ma première question porte sur votre proposition de forger des partenariats d'excellence sur le pôle de Paris-Saclay. Ce serait très bien, mais cela donne aussi l'impression d'un système très centralisé. Avez-vous identifié des partenariats possibles au-delà de la région parisienne ? Avec les centres hospitalo-universitaires par exemple ?
Vous appelez à un cadre juridique qui ne décourage pas la recherche et n'affecte pas notre compétitivité, tout en soulignant que le projet transhumaniste relève, du moins pour l'instant, de la science-fiction. Il y aurait ainsi des choses que l'on peut faire et d'autres que l'on ne peut pas faire. Ma seconde question porte donc sur les moyens concrets de progresser dans l'atteinte de cet équilibre. Peut-être faudrait-il se tourner vers les commissions permanentes compétentes sur chacun des sujets. Je pense notamment, pour le Sénat, à la commission des affaires sociales, pour ce qui est des dispositifs visant à améliorer la santé, ou à la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, pour les usages militaires – lesquels sont peu évoqués dans la note.