(Traduction) J'ai peu de doute quant à la volonté de notre PDG de répondre à cette question mais permettez-moi d'intervenir avant lui. Le programme qui vous intéresse est né d'un accord franco-britannique. Il en constitue même une part fondamentale. Je ne pense pas qu'un changement d'orientation soit à venir. À nos yeux, nous sommes sur la bonne voie. Par ailleurs, votre question suppose de considérer que les marchés européen et américain sont ouverts, ce qui ne correspond pas vraiment à ma vision des choses s'agissant du domaine particulier qui nous occupe. Pour être plus direct – puisque nous sommes convenus de l'être – les États-Unis se considèrent comme un marché fermé, et ce quelle que soit la manière dont on l'aborde. Par le passé, nous avons fait plusieurs tentatives et aucune n'a été très fructueuse. Il me paraît primordial de prendre cet élément en considération avant d'envisager toute coopération avec les États-Unis en ce domaine.