Ces gens demandent simplement à être régularisés, à être intégrés dans la société française. Il n'y a aucune haine de la France de leur part, aucune dénonciation de la France coloniale aujourd'hui, même si les anciens colonisés se retrouvent forcément davantage concernés, c'est tout ce que j'ai dit. C'est bien la première fois que l'on me répond de cette façon lorsque j'expose des thèses extrêmement raisonnables.