Alors nous disons : « Non à la banalisation des violences faites aux femmes ! Non à la banalisation des propos sexistes et violents à l'égard des femmes ! Non à la banalisation des images réductrices de la place de la femme dans notre société ! »
Pour toutes ces femmes anonymes, victimes de violences chaque jour, il est de notre devoir de faire preuve d'une vigilance sans faille. Madame la secrétaire d'État, alors que nous nous apprêtons à légiférer contre les violences faites aux femmes, pourriez-vous indiquer à la représentation nationale la forme que peut prendre cette indignation collective au niveau de l'État ?