Vous avez parlé de mécanismes de coopérations avec nos partenaires alliés. La multiplicité des attaques ne limite-t-elle pas la coopération par elle-même ? Dans le cas d'une attaque de la part d'un État ou sur des PME, quelles sont les solutions ? La présence dans les entreprises ou les hôpitaux de matériels étrangers ne limite-t-elle pas intrinsèquement le niveau de sécurité ? Enfin, ne faut-il pas réfléchir à des investissements pour les menaces de demain plutôt que de prendre du temps pour rattraper notre retard actuel ?