Quelle vision avez-vous de l'articulation entre le commandement de la défense cyber, le ComCyber, et la société civile ? Historiquement, la défense protège les frontières, mais, en matière cyber, le risque peut provenir de partout. Votre rapport produit il y a quelques années formulait des préconisations sur les réservistes de la cyberdéfense et sur une fertilisation croisée entre le ministère des armées et des entreprises.