Nous mesurons régulièrement ce que l'opinion publique retient de l'activité gouvernementale. Lorsqu'une thématique poussée par le Gouvernement revient fréquemment, nous supposons que notre activité y a contribué. Nous avons travaillé sur le plan France Relance pendant une période où le covid laissait peu de place à l'émergence d'autres thématiques dans l'actualité. Pourtant, nous avons réussi à assurer une présence de France Relance dans les médias nationaux et régionaux et sur les réseaux sociaux, alors qu'un plan de cette nature apparaît généralement au moment où il est porté par le Gouvernement, puis son impact médiatique s'efface rapidement. Nous avons également mesuré que le dispositif « un jeune, une solution » a touché 65 % de la population cible, qui connaît cette plateforme et qui la rattache à une action du Gouvernement. L'attribution à l'État des actions menées par l'État est un enjeu. Certaines de nos actions obtiennent moins de visibilité. La problématique liée à France Relance était de rendre compréhensible la somme de 100 milliards d'euros, qui parle difficilement aux citoyens. Nous avons donc voulu raconter le plan autrement, en territorialisant l'action pour la rendre palpable. Des indicateurs permettent ensuite de mesurer notre réussite.
La force de frappe est la problématique quotidienne de tous les médias. Le nombre d'abonnés aux réseaux sociaux du Gouvernement a été multiplié par dix en dix-huit mois. Le Gouvernement est présent sur Twitter, mais également sur Instagram, sur TikTok, sur YouTube, sur Snapchat et sur Facebook. Comme les animateurs télé, nous cherchons à utiliser les méthodes d'activation des communautés et à produire des contenus pour alimenter en permanence les canaux. . Cependant, contrairement à une chaîne de télévision, le gouvernement n'est pas un acteur éditorial. Nous nous adaptons toutefois en permanence à nos canaux et publics. Le SIG s'est doté de capacités de production de contenu en continu pour alimenter les différents réseaux.