Les incidents des derniers jours nous ont montré que les attaques pouvaient émaner d'une volonté délibérée, telles les attaques par déni de service distribué ou Distributed Denial of Service (DDoS), ou d'erreurs humaines comme on l'a vu chez Facebook et chez OVH en matière de routage. Au fil des attaques, on découvre des situations que l'on n'avait pas forcément anticipées, des vulnérabilités d'outils métiers, y compris de secteurs critiques. En Amérique du Sud par exemple, la panne de WhatsApp a fait réaliser à quel point cette application était utilisée au quotidien, aussi bien pour réserver un taxi que pour échanger avec les commerçants, par exemple. Selon vous, évaluons-nous correctement les impacts potentiels d'une indisponibilité des réseaux télécom pendant une heure, une journée, voire une semaine complète ?