À propos du recentrage, des missions subsidiaires ont été abandonnées, ou disons plutôt déléguées, dans certaines régions. Je pense par exemple au suivi médical des gendarmes. Dans le Grand Est, le SSA a redonné la main aux médecins généralistes, notamment pour la délivrance des certificats de reprise. Chez moi, dans le Sud-Est, cela ne s'est pas fait. C'est ainsi que des brigades ont été fermées à la suite de cas contacts, ce qui a créé des difficultés dans une période de forte activité. J'ai évoqué la question avec le centre médical des armées (CMA), et cela ne se reproduira pas. En tout cas, je relève que les médecins-chefs n'ont pas tous réagi de la même manière face au choix à opérer dans les missions primordiales.