Effectivement, le problème est que ce domaine est sectorisé. Chaque structure dispose de son propre programme, notamment en ce qui concerne le risque industriel, comme l'École nationale supérieure des mines de Paris et celle d'Arles, qui travaillent également aux questions d'ordre organisationnel. Il existe plusieurs masters en sécurité-défense. Toutefois, il n'y a pas de cohérence d'ensemble dans les dispositifs académiques.