Il existe déjà des partenariats avec les grandes écoles : certains de leurs élèves peuvent y effectuer un semestre complet – l'immersion doit être suffisamment longue pour que l'enseignement produise ses effets – à Coëtquidan.
La mobilité externe fonctionne très bien et apporte autant aux intéressés qu'aux administrations dans lesquelles ils travaillent. Mais il s'agit de quelques officiers seulement. Nous faisons déjà face à des difficultés pour constituer nos propres états-majors : les structures de commandement sont très gourmandes en ressources humaines et les emplois de colonel, de capitaine de vaisseau, de lieutenant-colonel et de capitaine de frégate sont déficitaires.