J'appuie les propositions de Boris Vallaud et Pierre Dharréville. Depuis des semaines, nous attendons impatiemment l'élection d'un nouveau rapporteur général et on nous a sans cesse répété qu'il fallait que nous soyons patients. À force de nous le demander, nous le sommes devenus : nous n'en sommes plus à une semaine près et je pense qu'il est important de pouvoir permettre un vote à bulletins secrets et de ne peut‑être pas forcer le destin en votant à main levée et en sentant que certains sont obligés de voter ce qu'ils ne voudraient pas. C'est un droit : attendons donc une nouvelle réunion de la Conférence des présidents, la semaine prochaine, pour permettre ce vote à bulletins secrets.