Je parlais justement des amendements qui vident le texte de sa substance. On nous explique ensuite qu'il faut travailler de manière constructive. Il y a une forme de violence à faire passer pour de la bienveillance la remise en cause totale d'un texte, d'une action que l'on devrait mener envers les personnes concernées, alors que c'est le contraire.
Notre responsabilité est d'agir. J'appuie donc les propos de mon collègue François Ruffin, y compris la passion qui l'anime. Des dizaines de personnes sont en grève depuis des mois. La réalité, c'est que vous n'avez rien fait, alors que vous aviez l'opportunité d'agir. C'est se foutre de la gueule du monde...