Je ne vous demande pas de faire le « Ségur de la santé » : je dis simplement que si les caisses de la sécurité sociale n'avaient pas été vidées, celle-ci pourrait peut-être offrir des chèques-vacances aux personnels concernés. Je vous remercie également pour la leçon d'étymologie : je n'ai peut-être pas fait beaucoup d'études mais je sais parler français !
Sur le terrain, les dons n'ont pas toujours été bien perçus parce qu'ils ont suscité des jalousies entre services : voilà le genre de problèmes que cela peut créer. Si toutes les personnes ayant travaillé en première ligne – vendeurs de boulangerie, employés de libre-service, soignants... – reçoivent quelque chose de l'État en remerciement, cela me convient ; mais il ne faut pas compter sur la solidarité des autres.