Ce sujet est dans les tuyaux du Parlement depuis 2016 – j'y ai travaillé sous la précédente législature –, et l'on ne me fera pas croire qu'on ne peut pas trouver une solution quand il existe une volonté politique. L'amendement est réducteur et limite la portée des intentions du texte. Si des ajustements sont nécessaires, nous avons encore le temps d'ici à la séance publique. Le moment est venu d'apporter une réponse à ces exploitants agricoles, et 85 % du SMIC ce n'est pas non plus une retraite de chef d'entreprise du grand capital.