Ce débat est la suite logique de celui que nous avons tenu ce matin. Madame la rapporteure, je vous ai suivie ce matin mais, là, je vous sens moins convaincante et, peut-être, plus embarrassée ! La priorité, c'est la réussite des territoires : chacun doit avoir une chance. Laissons le temps aux projets de mûrir, d'autant qu'ils peuvent être évolutifs. Si nous les enfermons dans un délai de cinq ans, certains n'auront que deux ou trois ans pour se lancer : nous risquons de les fragiliser et de ne pas leur permettre de prendre leur essor.
Madame la rapporteure, ce matin, vous avez fait preuve d'ouverture, en acceptant d'être la porte-parole de tous les commissaires auprès du Gouvernement. Mettez cet autre sujet dans votre besace lorsque vous partirez à l'assaut du ministère dans les prochaines heures !