J'ai reçu des vétérinaires de ma circonscription ce week‑end. En zone rurale, ils ont tendance à se regrouper, si bien qu'ils ont un secteur d'intervention de plus en plus large : il leur faut parfois faire une heure et demie à deux heures de route pour une intervention. Cet amendement me semble être un bon moyen d'accompagner la profession et d'éviter l'apparition de déserts vétérinaires dans les zones rurales : nous pourrions y retravailler ensemble.