Bien sûr, des aides ponctuelles – prêts garantis par l'État, chômage partiel – ont été débloquées en lien avec la crise du coronavirus, mais c'est le cas pour toutes les entreprises françaises. Il ne faut pas oublier que le transport maritime souffre d'une situation très particulière : la concurrence déloyale d'autres compagnies européennes, appliquant pourtant le droit communautaire. Nous plaidons donc pour une exonération de l'intégralité des charges patronales et salariales. J'espère que nous pourrons avoir ce débat en séance, si possible avec la ministre de tutelle.