Dans la période de crise que nous traversons, et eu égard à la volonté de la majorité et de l'ensemble des groupes d'aboutir à une loi ambitieuse sur le grand âge, la question peut en effet se poser d'une participation éventuelle du secteur privé à but lucratif. S'il n'est pas interdit d'y réfléchir, ce n'est toutefois pas à la faveur d'un amendement au PLFSS – de quelque groupe qu'il provienne – qu'on va régler le problème.