J'entends le besoin d'un nouveau type de service, mais seulement dans une certaine mesure, car on voit bien que le recours à la chirurgie et au soin ambulatoires a pu conduire à certains excès. Il ne faudrait pas que ce dispositif conduise à alimenter ces excès.
Alors que nous devrions nous demander comment le service public peut honorer ce besoin nouveau, évoluer – l'hôpital le fait ; il se transforme tous les jours –, vous trouvez une solution, toujours la même, celle d'une forme d'externalisation. Je le regrette car certaines activités, comme l'hôtellerie, pourront paraître potentiellement lucratives. Nous devrions au contraire travailler à rendre ce service public. C'est le débat auquel conduit réellement cet amendement.