Madame la Défenseure des droits, votre prédécesseur avait à cœur de faire connaître le rôle de cette institution auprès de nos concitoyens. Dans ce cadre, le nombre de délégués territoriaux a nettement augmenté depuis 2014. Cependant, une enquête de l'IPSOS rapporte que seulement une personne sur deux connaît l'existence d'un Défenseur des droits. S'agissant des personnes discriminées ou harcelées, vulnérables ou précaires, cette proportion est encore plus faible.
Par ailleurs, internet ne peut pas être la seule solution pour nos concitoyens victimes de la fracture numérique. Ils ont nécessairement besoin d'un contact humain de proximité.
Quelle action allez-vous mettre en œuvre afin de rendre votre institution plus accessible pour l'ensemble de nos concitoyens, y compris les publics discriminés, harcelés, précaires et vivant dans les milieux ruraux ?