Pour tous les jeunes qui aujourd'hui n'ont pas les moyens d'évoluer dans le supérieur parce qu'ils ne reçoivent pas l'accompagnement nécessaire, alors que d'autres jeunes jouissent, eux, d'un capital familial, culturel, financier, social qui leur donne les moyens d'avancer et de réussir.
Il faut rendre cette réussite accessible à tous : c'est ce que permet l'article 1er. C'est pourquoi nous refusons sa suppression.