Je ne sais pas si les chefs d'établissement entendront ce qui est dit dans cette commission, mais je profite de cet amendement pour souligner que ce n'est pas en faisant croire que le problème n'existe pas qu'on le règle. De nombreux chefs d'établissement disent à la presse que le protoxyde d'azote n'est pas un problème chez eux : dans la métropole lilloise c'est un problème partout !
Je tiens à féliciter les courageux chefs d'établissement qui ont pris les devants, notamment dans ma circonscription, et qui ont informé les parents et les jeunes de la dangerosité du produit.