Merci, monsieur le président, de me donner la parole. Je pense moi aussi que, tant qu'on tournera autour du pot s'agissant des moyens, la sélection perdurera de facto. Tant que cette question ne sera pas réglée, vous serez contraints, et vous nous contraindrez, à essayer de trouver qui va aller où dans quel cursus et tout le monde ne rentrera pas dans les cases.
Nous avons du mal à parler de la sélection sociale.