C'est tout aussi délibérément que la mention du domicile figure en premier dans notre amendement. Beaucoup de patients voudraient décéder chez eux, mais très peu le peuvent en France, contrairement à ce qui se passe dans beaucoup d'autres pays. Pourtant, c'est possible ; il faut simplement l'organiser, pour satisfaire la demande des personnes en fin de vie.