Ces amendements visent, d'après leurs auteurs, à clarifier certaines situations et à apporter une solution à des tragédies humaines – dont certaines, particulièrement médiatisées, ont suscité une émotion tout à fait légitime.
Je ne vois pas au nom de quoi nous devrions entrer dans l'intime des familles. Mettons que je réfléchisse à ma fin de vie, mais que je n'aille pas jusqu'à rédiger des directives anticipées. Il me sera peut-être plus facile d'en parler à mon enfant qu'à mon conjoint, ou à mon frère plutôt qu'à mon enfant. Les situations sont variées et extrêmement complexes et la hiérarchie que vous introduisez pose davantage de questions qu'elle n'en résout.