Il existe déjà une manière simple de régler les problèmes dans les familles : ce sont les directives anticipées et la désignation d'une personne de confiance. La rédaction proposée ne peut que créer des ennuis. On donne la priorité au conjoint : pourquoi pas ? On en vient ensuite à l'enfant ou aux enfants majeurs. Que se passera-t-il si les enfants ont entendu des choses différentes ? Le même problème se pose, au troisième niveau, avec les parents : qui, du père ou de la mère, faudra-t-il écouter s'ils ne sont pas d'accord ? Cette disposition ne règle rien du tout.