Des différences d'approche philosophique existent entre nous, c'est un fait. Mais en l'espèce nous sommes face à un problème très concret, qui touche de nombreuses personnes attendant notre décision. Nous connaissons les tenants et les aboutissants du dossier et il ne sert à rien de se réfugier derrière des arguties juridiques. Or c'est d'une certaine manière ce que j'entends ; et ce n'est d'ailleurs pas la première fois depuis que nous discutons de ce sujet.
Il est temps que chacun prenne ses responsabilités.
J'appelle donc nos collègues à venir en nombre en séance publique le 17 juin pour donner leur avis et, je l'espère, faire droit à cette revendication légitime et mettre fin à une injustice.