Vous portez cette question de la sensibilité à la maîtrise de la langue française très au-delà du cadre du projet de loi, ma chère collègue : il s'agit de l'un de vos combats dans cet hémicycle, que vous avez récemment évoqué lors d'une séance de questions au Gouvernement.
Nous sommes bien sûr tous ici d'accord sur ce point. La Constitution dispose d'ailleurs que « La langue de la République est le français ». Il faut veiller, à l'école comme dans l'enseignement supérieur, à faire en sorte que tous les jeunes de ce pays maîtrisent la langue française.