Nous partageons le souhait de confier le mineur à un membre de la famille ou à un tiers digne de confiance, mais nous nous interrogeons sur le caractère systématique de l'évaluation, qui pourrait fonder un recours excessif de la part de la famille si celle-ci n'est pas d'accord avec la décision. En ce sens, l'intérêt supérieur de l'enfant justifierait que l'on assouplisse le dispositif.