Telle est notre première interrogation.
Pour votre part, madame la ministre, vous répondez que ces dispositions figurent déjà dans la loi. Mais alors, pourquoi est-il nécessaire de les rappeler dans les attendus ? Et s'il est nécessaire de les rappeler dans certains d'entre eux, pourquoi ne pas les rappeler dans le texte de loi, qui mentionne les compétences nécessaires et les accompagnements pédagogiques ?
La langue n'est pas un savoir comme un autre : c'est un prérequis fondamental et transversal. Celui-ci est suffisamment fragilisé aujourd'hui pour ne pas faire l'objet au moins d'une redondance. Pourquoi pas ?
Peut-être avez-vous décidé de repousser tous nos amendements. C'est le chemin que vous semblez emprunter.